METAL GEAR SOLID 3
SNAKE EATER
Kojima's touch...
Si je vous parle de chef-d'oeuvre vidéoludique, vous êtes capables de me citer des titres? Bien sûr, tous le monde à son nirvana virtuel, son utopie sur disque, son bonheur pixelisé. Je vais vous révélez le jeu faisant office de pilier à MON paradis. Metal Gear Solid 3, sous-titré snake eater, jeu de mot révélateur. Snake qui se nourri de serpents pour survivre, cocasse ou génial? Les deux bien sûr.
Blessures, animaux sauvages, jungle, camouflages..la survie la vraie...Koh-Lanta peut aller se cacher...
Dans ce troisième opus, bye bye les environnements high-tech, bonjour la jungle luxuriante. En effet, Votre principal lieu d'action sera une jungle, manignifiquement éxploitée, superbement créée, détaillée etc etc, pas besoin de s'attarder longtemps, ça bute point barre. Même si on n'échappe pas au chemin prédéfini, chose qui peux sembler restreindre la liberté de mouvement (ce qui est assez faux), le toujours d'attaque Snake ne devra plus seulement être sur ses gardes, et tenter d'agir dans la plus grande discretion, mais il devra également survivre. Se nourir, se soigner, se camoufler, autant de point à ne surtout pas négliger, ce qui rend le gameplay d'une richesse absoluement extraordinaire.
The Boss, pas une simple femme, mais LA femme. Un destin incroyablement touchant, pour une femme pas si mauvaise qu'on pourrai le penser dans le jeu. Tain cette femme!!
Alors une jungle, d'accord, mais quel est donc le scénario (encore plus génial que les préceédents soit-dit en passant) qui va mener notre héros dans cette nouvelle histoire qui mêle faits historiques réels et pures fictions (c'est là qu'on se rend compte du génie de Kojima, et du fait que ce mec est un barge). Je me tais dons niveau scénarion, pour ne pas vous spoiler la tête et pour que vous découvriez cela in-game. Je parlerai par contre des personnages secondaires, superbement mis en valeur, travaillés à l'extrême, charismatiques et tout et tout. Les boss sont jouissifs, autant dans leur présentation que dans l'immense plaisir de leur faire mordre la poussière.
Ocelot, bien jeune par rapport au premier épisode de mgs.
Bref là vous vous dites: "tain mais ce mec n'a même pas donné de point négatif, laisse tomber son article est bidon". Qu'est-ce que vous pouvez être vils quand vous vous y mettez. Je répondrai donc juste que vous n'avez qu'à vous procurer le jeu, l'insérer dans votre PS2, et vous prendre une sérieuse claque en goûtant à cette expérience unique. Cra ce jeu est unique, et pas prêt d'être égalé. (J'en veux pour preuve la cinématique de fin, absolument mortelle, qui prend aux tripes, et qui m'a fait lacher la larmichette, et oui)
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